Impression 3D appliquée à la maintenance industrielle ou agricole

Impression 3D et maintenance industrielle ou agricole :

Si vous exploitez des machines industrielles ou agricoles, vous connaissez le problème des pièces détachées qui disparaissent brutalement de chez les grossistes. Souvent, la seule option consiste à remplacer les machines, tôt ou tard. 

Or le cout de remplacement de ces machines est souvent prohibitif. Surtout, elles font partie d’un métier, d’un atelier, d’un savoir faire, qui est alors brutalement remis en question. 

En tant qu’imprimeurs 3D, nous répondons souvent à ce type de problème. En effet, comme vous, nous connaissons nos outils et nos machines, que nous avons construites intégralement. Notre atelier compte tous les outils nécessaires à la création de nouvelles pièces pour votre besoin précis. Sous réserve de disposer de documents (photos, fiches techniques, environnement immédiat) et idéalement des pièces), nous pourrons rapidement vous dire si nous pouvons vous aider… ou pas.

Louis est agriculteur dans les Cévennes. Comme son père avant lui, il produit des pommes et du jus de pommes.

Pour calibrer sa production, il utilise la machine de son père, une calibreuse de la Tourangelle. Conçue par un géni du machinisme agricole, Claude BoulesteixC’est un bijoux d’ingénierie des années 80, avant que l’électronique n’envahisse nos quotidiens.

Avec les temps, les godets se sont détériorés, et sont bien évidement introuvables. Acheter une nouvelle machine n’est pas envisageable: la pérennité de son exploitation était en jeu.

C’est reparti pour 40 ans !

Après avoir modélisé sa pièce en 3D, nous avons pu tester quelques prototypes imprimés en 3D. L’impression de prototypes nous permet de valider les dernières géométries. La complexité des mouvements de la machine demandait une précision rigoureuse. Pour passer de la pièce d’origine au premier prototype 3D, tout commence au pied à coulisse :

Toutes les dimensions sont notées, reportées sur des croquis en 2D, qui vont servir de base à la mise en volumes.

Généralement, 1 ou 2 prototypes imprimés en 3D permettent de valider les dernières mesures, les tolérance fines. Une fois la pièce d’origine reproduite à l’identique dans toutes ses fonctionnalités et contraintes, elle peut généralement être améliorée du fait de son nouveau procédé de fabrication (réduction des composants, meilleure ergonomie de mise en place, code couleurs pour distinguer les composants…)

Une fois le prototypage 3D validé, la production de l’ensemble des 35 godets était prête en 48h.

Du prototype à la production de pièces de rechange en série limitées, l’impression 3D permet une nouvelle approche pour la remise en route de machines indispensables à une production.

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